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Capturer la lumière grâce à la photographie
Durant la seconde moitié du XIXe siècle, l’intérêt pour un nouveau médium se développe : la photographie.
Si l’atelier Sogdiane que visitent nos héros n’existe pas, il ressemble à celui de Nadar. Ce dernier était à la tête d’un grand studio et ses nombreuses succursales -dont une pour les portraits équestres !
À la pointe des innovations techniques, son officine a vu les débuts du portrait à la lumière électrique et des expérimentations autour du flash.
Technique inventée au milieu du XIXe siècle, la photographie au collodion humide consiste à enduire des plaques de verre d’une solution chimique (qui s’appelle collodion) sensibilisée à la lumière.
Au moment où l’on souhaite prendre le cliché, on expose cette plaque quelques instants, puis on se dépêche de la développer en laboratoire.
Aujourd’hui, certains photographes se réapproprient ce procédé pourtant contraignant pour les magnifiques nuances de gris qu’il offre.
Qui dit nouvelles techniques, dit tâtonnements… et ratés !
La double exposition qui est évoquée dans le tome 2 peut être accidentelle ou volontaire. Deux images sont alors superposées sur une seule photographie.
Cela peut s’obtenir en exposant plusieurs fois la même plaque ou pellicule.
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