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De l'autre côté du miroir

L’un des Veilleurs de l’expédition Wellman est une célébrité, mais elle se cache sous son véritable nom, Charles Dodgson.

 

Son pseudonyme est mieux connu : Lewis Carroll.

 

Dans une précédente version du roman, j’expliquais comment Oscar remontait la piste laissée par l'auteur de De l'autre côté du miroir, et comment ses récits imprudents lui coûtèrent sa place de Veilleur.

 

Sa présence est devenue un simple clin d’œil et ce n'est pas plus mal. Un jour peut-être, je vous raconterais ce qui s'est réellement passé...  

Clairvivre existe !

Cette cité sanitaire située en Dordogne n’a pas grand-chose à voir avec celle du roman (pas de trafic de mémoire à ma connaissance). Elle accueillait les tuberculeux et les gazés de la Grande Guerre.


 


De manière générale, les établissements thermaux, les cités ouvrières et les hôpitaux ont beaucoup inspiré les décors de ce premier tome.

Le docteur Prosper est obsédé par l’hygiénisme, l'idée que l'on peut soigner toute la société en lui faisant bénéficier de suffisamment d'air et de lumière, de travail, d'exercice physique.

On voit où ça mène !

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